La situation s’empire
Le changement climatique influe sur les déterminants sociaux et environnementaux de la santé : Air pur, Eau potable, Nourriture en quantité suffisante, Sécurité du logement.
Les conditions météorologiques influent fortement sur les maladies à transmission hydrique et celles véhiculées par les insectes.
Des experts du paludisme redoutent que le changement climatique n‘aggrave la menace de cette maladie en Afrique Centrale (RDC, République du Congo, Cameroun, Rwanda).
Le réchauffement planétaire est le phénomène d’augmentation des températures moyennes océaniques et atmosphériques induit par la quantité de chaleur piégée à la surface de la terre du fait des émissions de gaz à effet de serre.
Des tempêtes, des sécheresses, des précipitations abondantes arrivent plus fréquemment. Les saisons sont devenues instables ce qui a des conséquences sur l’agriculture, la flore et la faune.
Une élévation locale des températures constitue un facteur connu du développement du paludisme. En effet, les moustiques porteurs des parasites responsables de la maladie (plasmodium falciparum et vivax) se multiplient d’avantage quand il fait chaud.
Les scientifiques recommandent l’amélioration de la surveillance et de l’exécution des programmes en vue d’accélérer les progrès.
Les difficultés d’accès aux services de santé, l’insuffisance du personnel formé, la présence sur le marché d’antipaludiques de qualité inférieure, voire falsifiés ainsi que l’automédication qui risque de développer des résistances aux traitements sont là les défis que les services spécialisés sont appelés à relever.
Le financement national et international demeure une priorité. Il y a lieu d’insister sur un leadership politique fort, des systèmes de santé et la mobilisation des ressources supplémentaires.
Si on peut presenter des equipes de risposte et des vraie leader devant la communauté tant national qu international on peut veuillez sur ce probleme…
À qui faire confiance pour financer la projet? Le congolais sont male vu