Les ondes sont partout. Nous en sommes cernés, prisonniers à tel point que nous ne pouvons y échapper. Dans les milieux urbains les téléphones portables, les Wifi, les radios, les ordinateurs, les tablettes ont envahi nos maisons, nos bureaux, nos ateliers.
Les ondes, on ne les voit pas. Ne faisons pas les Saint Thomas en croyant que ce qui ne se voit pas n’existe pas.
Nous assistons aujourd’hui à une montée des troubles liés aux nuisances électromagnétiques parce que nous baignons dans une sorte de brouillard électromagnétique dénommé éléctrosmog.
L’origine, la cause électromagnétique ne fait pas partie du référentiel de la médecine contemporaine. Cependant plusieurs publications scientifiques ces dernières années ont prouvé que certaines ondes électromagnétiques peuvent entrainer des graves problèmes de santé sur l’être humain.
L’éléctrosensibilité est une réalité scientifique médicale. Il y a des gens qui en souffrent. La plupart des médecins disent tout simplement qu’il s’agit de troubles psychosomatiques.
Dans les mêmes conditions de vie, les mêmes conditions de surexposition (téléphonie mobile) certaines personnes seront atteintes et d’autres pas. Il faut admettre que comme pour d’autres maladies certains terrains sont plus favorables que d’autres.
Il s’agit en réalité la plupart du temps des matières de toute nature qui sont portées sur soi ou dans soi. On peut parler des prothèses dentaires ou autres, des stérilets, des lunettes, des cosmétiques et des bijoux et de certains vêtements.
Toute matière est émettrice d’un champ électromagnétique. Ces signaux électromagnétiques peuvent être très faibles mais avoir des effets à long terme.
Les symptômes en rapport avec l’éléctrosensibilité sont très variés. Généralement l’éléctrosensible comprend vite que la présence de Wi-Fi, antennes relais, téléphones mobiles etc… lui crée des troubles de santé. De plus en plus des personnes ressentent quand elles téléphonent avec un mobile, une sensation d’échauffement au niveau de l’oreille ou des picotements au niveau du crâne.
Ce sont souvent les premiers signes d’une intolérance aux micro-ondes, une sorte d’alerte qui devait engager ces personnes à faire attention. Elles courent le risque de devenir hyper-éléctrosensibles et ce serait l’enfer qui commencerait.
Les signes les plus fréquents sont : cervicalgies (douleurs à la nuque), douleurs lombaires, fourmillement dans les mains ou les jambes, tension au niveau des trapèzes (muscles latérales du cou), vertiges, palpitations, fatigue chronique, douleurs articulaires et musculaires, contractions involontaire de muscles, maux de ventre, troubles digestifs, sensation de crispation des mâchoires avec bruxisme (grincement ou serrement de dents surtout la nuit).
Des troubles de l’attention et de mémorisation et des maux de tête peuvent également avoir pour cause une éléctrosensibilité.
La difficulté du diagnostic est claire mais le fait de reconnaitre l’existence des méfaits des ondes sur la santé est déjà un pas non négligeable malgré la résistance du monde politique et de la science institutionnelle.
Après la 3G, après la 4G nous aurons la 5G et la 6G et la solution ne peut être qu’un choix individuel de protection et des auto-tests, la protection des enfants et la reconnaissance des matières qui nous sont éléctromagnétiquement compatibles.
Le harcèlement électromagnétique est une affaire de gros sous.
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